Le processus d’innovation sociale est victime d’une représentation simpliste et positive. Spontanément, l’étudiant de 3 ème cycle en Science sociales tend à se représenter ce processus d’une manière linéaire.
Il suffirait de faire remonter des « réalités sociales », puis, d’en faire un « état des lieux ». Puis dans un troisième temps, il conviendrait de produire une analyse pertinente des problématiques à l’oeuvre pour aboutir à un projet . Enfin dans un dialogue constructif avec les institutions et collectivités on obtiendrait des moyens pour réaliser et suivre ce projet.
Cette modélisation pourrait paraître ridicule, voire « rose bonbon », mais c’est bien elle qui réellement à l’oeuvre dans les représentations des acteurs sociaux, de leurs formateurs, et des acteurs institutionnels.
Or, la réalité , bien entendu est toute autre . Le diagnostic des problèmes sociaux non résolus est dans les faits rendu inentendable car il contrevient à la manière officielle de percevoir la réalité sociale.
Le soutien au projet est quant à lui politiquement impossible car ce soutien est déjà tout entier accordé aux acteurs et structures en place qui contribuent aux problèmes sociaux qu’on se propose de traiter.
Il y a bel et bien un triple déni de l’innovation sociale:
- un déni idéologique qui empêche de percevoir les réalités sociales dans leur processus et leur complexité
- un déni politique pour attribuer quelques moyens au travail sur ces réalités
- un déni administratif et de gestion du Social, pour accepter de reconnaître les résultats souvent extraordinaires qui sont produits par les formes d’action innovantes.
Le premier déni peut être dépassé ou entamé par une bataille des idées, des concepts mêmes que l’on produit pour saisir et expliquer les réalités.
Le second déni ne peut être dépassé que dans la confrontation avec les décideurs publics pour les obliger à un minimum de transparence et d’équité dans le traitement des projets.
Le troisième déni met aux prises avec la représentation du Réel: les médias et le monopole direct ou indirect sur les outils de communication des réalités sociales: médias, événements, opérations de comm et marketing.
Dans tous les cas, il s’agit bel et bien de constater que ce qui au départ ne devait être qu’un projet, est devenu dans la réalité un combat.
De fait la linéarité supposée à l’oeuvre est remplacée par une conflictualité permanente des points de vue, des constats , des termes mêmes avec lesquels on aborde les réalités sociales.
L’acteur social qui se risque au coeur de ces réalités, se trouve dès lors dans une position impossible. Le voici devant un choix intenable:
De deux choses, l’une:
- Ou bien il dénature son action pour la rendre audible et entendable et il la réduit à quelques processus symboliques. Alors il aura quelque chance d’obtenir les moyens d’un dispositif, au prix de perdre la logique et la pertinence de son oeuvre.
- Ou bien il travaille au coeur de cette réalité même, mais se prive à la fois de tout soutien et de toute reconnaissance.
Le fond du problème reste ainsi entièrement lié à cette culture du simplisme et de l’angélisme institutionnel, qui présuppose que puisque tout le monde aurait de bonnes intentions affichées, rien de fâcheux ne saurait en découler.
C’est quasiment une morale obligatoire, politiquement correcte, omniprésente, consubstantielle de toute institution, de tout réseau, de tout projet de territoire, de toute réunion d’acteurs, de toute concertation ou coordination, qui, par absence de toute conflictualité, se prive de toute chance d’impacter le réel.
Le chemin de l’innovateur social passe donc par trois prises de conscience successives que le choses ne se passent pas comme on se les représente et qu’il y a, dans les faits, une triple impossibilité des projets, des constats et des résultats.
- Première découverte : Quand on s’attaque aux réalités sociales envahissantes , on n’a pas de projets, on a des problèmes.
- Seconde découverte: On n’a pas de diagnostic consensuel, mais un contact constant avec ces réalités.
- Troisième découverte: On n’a pas de résultats, mais on a un impact.
L’innovation sociale est elle encore possible alors qu’elle devient nécessaire, indépassable? Comment les institutiosn sauront elles lever les contradictions contre lesquelles leurs mesures, leurs réformes et leurs politiques se brisent?
Combien de temps encore dureront des « actions sparadrap », des grandes messes formelles et vides autour des grands thèmes que l’on agite sans cesse « laïcité », « vivre ensemble », « lutte contre la radicalité » etc…
Quand enfin, passé le temps des slogans, travaillerons nous enfin à la question des outils et de la pédagogie?
JEUDI
Atelier skate Park
Une excellente après-midi passée au côté des enfants ; la pluie était au rendez-vous mais n’a pas freiné les enfants et les ateliers mis en place.
Nous avons fait les jeux de sociétés, les jeux collectifs et la petite enfance, et nous avons finis par des jeux tous ensemble proposé par les enfants, ce fut un moment de partage et de grande rigolade car la pluie a entrainée certaines chutes mais sans conséquences sauf du rire.
Nous avons finis par un gouter, un petit chocolat chaud pour nous réchauffer.
Atelier Clas
Après l’arrivée des enfants nous avons commencé par une traditionnel aide au devoir avec les enfants présents, avec l’affiche lecture, mathématique, poésie, géographie.
Nous avons continué en leur proposant un atelier Journal. De cette manière les enfants qui le souhaitent prouvé écrire une page du journal, en mode BD, avec des Super Héros.
Ensuite un bon goûter chaud avec des petits gâteaux sont là pour conclure la journée .
Jardin de Saulx-les-Chartreux
Aujourd’hui il fait froid et il pleut. Mais les Robinsons sont toujours présents pour s’investir dans le jardin potager.
Avec Zohra, Eric, Akbar, Ionut et Nicolae nous partons vers le jardin. Quand nous sommes arrivées, les bêches vite dans les mains et tout le monde s’y met à travailler. Nicolae et Zohra s’en occupe de planter les oignons de jacinthes et des jonquilles aidé par Eric.
Cependant Ionut et Akbar s’en occupe de retourner la grande parcelle à l’aide des bêches et ensuite sous la serre on ramasse les dernières poivrons et piments verts avant que la pluie ne recommence.
A bientôt.
Atelier Massy
Étaient présent Iasmina, Dusko, Mélanie, Dalila, Lindsay, Paulina, Saman, Flora et Marie.
Nous avons proposé différentes activités telles que Jeux collectif, atelier créatif, petite enfance, jeux de société et atelier manuel.
Tous les enfants étaient ravis et nous nous sommes tous réunis pour partager le gouter.
VENDREDI
Atelier a Bondoufle
Il y avait Laura , rosa , lindsey , zohra , najamie , paulina
Atelier petite enfance : les enfants se sont bien amusés avec les jouets qui étaient à leur disposition
Atelier peinture : les enfants ont bien aimés peindre
Atelier sapins : les enfants ont dessiné leur sapin et ont mis des paillètes.
Avant le gouter nous avons fait quelques jeux comme 1, 2,3 soleils et jeu du facteur.
Le gouter s’est bien passé.
Atelier CUISINE
Ce matin nous nous sommes toutes et tous retrouvés autour d’appétissantes viennoiseries. Le café a été préparé avec soin par Zohra. Etaient présents : Nicolae, Dalinda, Lila, Sita, Mi Mad et Nathalie. Nous avons préparé le poulet façon KFC, accompagné de sa salade de pommes de terre agrémentée d’un soupçon d’œuf. Vous l’avez compris, on a cuisiné dans la joie et la bonne humeur ! à très vite pour partager un bon repas fait maison, tous ensemble !
Atelier Bel-Air
Ambiance morose au quartier ce vendredi. Le ciel est sombre, le soleil est en train de se coucher, tout le monde rentre au chaud…
Pourtant, à bel air, un petit ilot de chaleur et de convivialité résiste encore et toujours à la dépression hivernale :
Aujourd’hui à l’atelier de bel air, place aux artistes !
On a dressé la table pour peindre notre jardin imaginaire, celui que l’on voudrait voire quand la belle saison reviendra ! Juste à côté, on joue au Jungle Speed, au Doble et à l’Uno, tandis que sur le tapis de petite enfance, on dresse la dinette !
Atelier La Rocade
Aujourd’hui nous sommes allés dans le quartier de la rocade en compagnie de Dusko, Cassandra, Thomas et Nelson.
Nous avons mis en place plusieurs ateliers dont la petite enfance et les jeux de sociétés réunis qui a eu un franc succès.
Un atelier maquillage ou beaucoup d’enfants et de mamans ce sont intéresser et maquiller.
Un atelier jeux collectif avec un grand match de foot tous ensemble.
Nous avons fini cette journée par un conseil de quartier et le gouter.
Atelier fle
« Dessiner c’est gagner ! »
Atelier en petit comité, il y avait environ 5 mamans avec Flora et moi.
Nous avons proposés un « dessiner c’est gagner », les mamans se sont investies, il y avait une très bonne ambiance, les mamans étaient souriantes et ont passé un bon moment avec nous.
C’est un atelier qu’elles ont demandé de refaire .
SAMEDI
Atelier Hôtel
Il y avait paulina , iounuts , rosa , laura , thomas
Atelier petite enfance : les enfants ont aimés joué avec la dinette
Atelier coloriages et jeux de société : les enfants ont bien aimé dessinés et jouer au double et jungle speed.
Jeux collectif : 123 soleils
Le gouter s’est bien passé .
Atelier Vauhllan
Les enfants nous accueil avec joie, malgré le froid terrible qui régné sur le camp de Vauhallan cette après midi.
Nous faisons le tour du camps avec Bianca qui veut s’assurer que tout les enfants profitent de l’atelier. Ensuite, nous nous installons sur les tables pour faire de exercices d’écritures, et sur les tapis pour joue avec la dinette et les peluches.
L’heure du gouter approche et les enfants nous aident a distribuer le gouter composer de chocolat chaud et de pain au chocolat.
Les au revoir sont chaleureux et on se dit à la semaine prochaine !
Atelier VSM
Aujourd’hui avec les propositions des enfants nous avons fait des jeux collectifs comme le béret, un chat, un foot et quelques petits jeux de sociétés.
Rien n’arrête des enfants qui jouent ; même pas le froid ! Nous avons finis avec un bon chocolat chaud pour nous réchauffer.