La fin du XXème siècle a été marquée par le déclin des institutions sociales, publiques et éducatives, tel que l’a décrit François Dubet. Ce déclin s’est imposé à nous comme un simple constat. Les institutions doivent en effet faire face depuis quelques décennies à toutes sortes de critiques, de remises en cause, qui sont couramment illustrées par des faits divers, ou par des événements représentatifs.
Leur prestige a été atteint , en même temps que l’a été celui des agents qui travaillent en leur sein. D’un coup les institutions étaient en quelque sorte jetées du piédestal sur lequel les tenait la vielle France. D’un coup, elles n’étaient plus éternelles indiscutables, évidentes et allant de soi.
Le déclin des institutions sociales publiques, culturelles ne saurait pourtant être abordé que du point de vue du simple constat . Car tant que l’on en restera à ce stade, on se bornera à « regretter » tantôt l’aura des institutions d’antan, tantôt leur prestige perdu ou celui de leurs agents. Bref, nous nous condamnerons à la nostalgie et de fait à l’impossibilité d’aimer notre époque et agir sur notre présent.
Il est nécessaire de sortir des constats quand ceux ci versent immédiatement dans le jugement moral et plus encore, quand cette tendance au jugement est alimentée par l’Etat lui même qui jette toutes ses forces idéologiques à défendre l’image des institutions , à défaut de pouvoir les soutenir ou les réinventer.
Les institutions sont en déclin et ce n’est pas sans raison. Nous pourrions même ajouter que ce déclin est un événement ininterrompu vis à vis duquel nous avons intérêt à nous familiariser et chercher à le comprendre.
Le déclin des institutions n’est pas un simple constat parce qu’il est d’abord un processus , une fabrication en cours, une tendance continuelle qui compte trois sources connues.
La première source: perte de sens
La première source de déclin des institutions est celle de la perte du sens de ces dernières. Les institutions aujourd’hui encore en place sont dans l’incapacité à renverser les tendances à la précarisation, à la désaffiliation et à la fragmentation des groupes, des individus et des identités collectives. Or cette capacité à faire barrage aux violences économiques, sociales , politiques ou administratives , comme aux crises individuelles, c’était justement ce qui donnait aux institutions tout leur sens, tout ce qui démontrait leur importance. Aujourd’hui, faute de pouvoir constituer une contre-tendance efficace, les institutions ne sont plus en mesure de faire société et se retrouvent même dans cette position inverse de devoir recourir à la société civile et aux organismes de l’Etat pour conserver encore un peu de sens et de prestige.
La seconde source: perte d’autorité
La seconde source du déclin des institutions tient dans la perte de leur capacité à faire autorité. Il fut un temps où les institutions faisaient autorité par elles mêmes et en elles mêmes. Elles détenaient même la source légitime de nombreuses formes d’autorité. Cette autorité incarnée par les institutions se transmettait à leur agents qui se trouvaient légitimés en tant que leurs représentants. Or, aujourd’hui , comme l’observait Dubet, les institutions ne font plus autorité. Elles ne font plus autorité car elles ne sont plus en mesure d’agir efficacement sur les destins des individus. Elles ne sont plus en mesure d’assurer une place sociale, un avenir ou des sécurités élémentaires à leurs usagers, qui dès lors , perdent confiance en elles.
Or l’autorité perdue des institutions repose dès lors sur les faibles épaules de leurs acteurs. C’est à eux, par leur savoir faire et leur propre énergie de conquérir un peu d’autorité pour redorer un peu le blason des structures qui les emploient. Ces mêmes acteurs parviennent ou échouent à ce qui ressemble et ressemblera de plus en plus à un jeu de dupes dont au final, inévitablement, ils feront les frais face à des publics de plus en plus exigeants, méfiants et hostiles.
Troisième source: l’impossible transformation
La dernière et troisième source de déclin des institutions est sans aucun doute la plus redoutable et n’a pas été ou a été insuffisamment relevée jusqu’ici: c’est l’impossibilité pour ces mêmes institutions de se réformer par elles mêmes et de l’intérieur.
Cette impossible réforme, cette impossible autoréparation pousse les principales institutions publiques, sociales, éducatives et culturelles à réitérer et répéter sans arrêt les mêmes constats et les mêmes erreurs. Face à leur perte d’autorité, elles cherchent des sources autoritaires extérieures; elles font appel à la pénalisation des franges les plus hostiles de leurs usagers.
Face à leur difficulté à agir dans la réalité de leurs usagers, à amener de véritables changements ou transformations, elles se replient dans des attitudes « de tri » et de distinction interminables entre « bons » et « mauvais » usagers, « vrais » et « faux bénéficiaires » et multiplient les pratiques de rejet, renvoi, et abandon des publics en commençant toujours par ceux qui auraient le plus besoin d’elles.
Si toute réforme est impossible c’est d’abord parce que ces institutions sont dans un processus de changement continuel qui repose sur la répétition du même processus: des constats idéologiquement biaisés qui appellent automatiquement le renforcement des mêmes mesures qui aboutissent à isoler un peu plus et fracturer un peu plus la relation avec les publics. Ainsi la plupart des institutions répètent sans arrêt les mêmes rengaines: l’école court après des modèles archaïques imaginaires, tandis qu’on rêve de service militaire, d’uniformes, d’internats autoritaires . Les institutions du social , n’en finissent plus de diagnostiquer chez leur public « un manque de cadre » , qui appellerait donc encore et encore « de plus en plus de cadre » ; et dès lors on multiplie les contrats, les contraintes, les règlements, les délais, les échéances, et bien entendu , les fins de mesure, les « mains levées », les exclusions, et les expulsions.
Dans le domaine de la culture on présentera de plus en plus l’attachement à des formes archaïques et excluantes de la culture comme des bastions à tenir face à la barbarie dont on soupçonne de plus en plus les publics populaires. On se mettra même à trouver de la vertu aux pratiques les plus grossières d’exclusion culturelle par l’argent et par les symboles mis en avant.
Il faut bien comprendre la nature exacte de cette troisième et dernière source de déclin; elle est active , elle est en progression constante puisque le mal lui même est employé comme antidote et puisqu’on prétend se soigner en cultivant les symptômes.
Rien qu’à elle seule cette troisième source serait suffisante pour assurer la continuité du déclin; elle vient alimenter évidement les deux premières sources s’il y en avait besoin.
Pédagogie sociale
Or , la Pédagogie sociale tire toute sa raison d’être de cette impossibilité de réforme des institutions par elles mêmes. C’est bien parce qu’elles n’en sont pas capables ni aujourd’hui, ni demain, qu’il convient de fonder ici et maintenant et en dehors d’elles , de nouvelles sources d’éducation, de social, de culture, de politique et d’économie . Très logiquement , les sources de légitimité et de re-fondation reposent sur les principes inverses de celles du déclin.
Là où il y a avait perte de sens, il s’agit de mettre en oeuvre dans l’espace public des actions et des interventions pleines de sens.
Face à la perte d’autorité , il s’agit de mettre en oeuvre une pédagogie de l’autorité qui encourage tout un chacun à être auteur d’initiatives sociales dans son environnement.
Et enfin, à l’opposé de l’incapacité à s’auto-transformer, les actions que nous mettons en oeuvre en pédagogie sociale sont en perpétuelle mutation et transformation.
Vendredi Samedi Dimanche : avec les écoles solidaires de Grèce
Intermèdes -Robinson, notre association, était invitée à participer aux travaux du réseau des écoles solidaires de Grèce à Athènes, ce week-end. Hélène et Laurent sont allés présenter notre association, présenter la Pédagogie sociale, et prendre contact avec les acteurs des écoles de ce réseau.
Les écoles solidaires en Grèce occupent un vide institutionnel , politique et éducatif. Il s’agit de permettre aux enfants pauvres qui ne peuvent pas se payer les cours privés de préparation aux examens, d’accéder à des écoles gratuites. Ces écoles sont avant tout des lieux sociaux, ouverts à tous les enfants, mais aussi aux adultes, aux voisins, et qui proposent des actions sanitaires , sociales, éducatives et culturelles.
Les liens avec nos actions sont évidents et nous espérons pouvoir poursuivre les relations avec nos nouveaux amis.
Samedi
Atelier de la Villa Saint Martin
Aujourd‘hui, nous sommes allés au quartier sud de Longjumeau à la villa st martin.
Nous avons eu beaucoup d’enfants et un temps magnifique !
Les enfants ont pu faire de la peinture sur une longue feuille ce qui a permis de mélanger leurs dessins.
Il y avait également des jeux collectifs, comme le Babington, le foot, de la pétanque.
Un atelier Boxe a été proposé aux enfants, ils ont pu se défouler et se sont bien amusés !
Nous avons également fait un atelier cuisine, dans lequel les enfants ont pu participer à la conception de beignets pour le goûter.
Et nous avons fait un atelier glissade sur une grande pante avec une grande bâche et plein de savon !
Les enfants se sont bien amusés, nous nous sommes tous regroupés pour prendre le goûter : beignets et sirop.
Atelier du Balladins
Aujourd’hui l’équipe d’Intermèdes Robinson s’est rendue à hôtel Balladin, où le soleil et la joie étaient au rendez-vous.
Plusieurs activités, ont eu lieu, un atelier petite enfance qui a réuni beaucoup d’enfants ainsi qu’une agréable piscine remplie d’eau pour rafraîchir nos jeunes sous ce soleil. Un grand jeux collectif ‘ football ‘ avec l’équipe de l’Albanie, du Maroc et de l’Algérie.
Et pour finir, des jeux musicaux qui ont enthousiasmé petits et grands ainsi qu’un goûter convivial réuni sous l’ombre de l’hôtel.
Atelier du Parthénon
Aujourd’hui, au Parthénon, il y avait 20 enfants/adolescents, et une maman est restée avec nous. Elle découvrait l’association avec ces deux enfants.
Nous avons proposé un atelier de maquillage, qui a eu un franc succès. Certaines adolescentes nous ont aidés à maquiller les plus petits. MERCI à elles.
Nous avons proposé des coloriages de Supers Héros, Princesses, et des Mandalas, les enfants ont pu repartir avec leur coloriage.
Nous avons mis deux/trois musiques pour danser et faire les fou fou tous ensemble.
Pour les plus jeunes, nous avons proposé des jeux d’imitations (dinettes, voiture…) et des jeux de constructions (lego, kapla).
Les bébés avaient à leur disposition des mini instruments de musique et des livres sensorielles.
Nous avons comme toujours présenté des livres aux enfants pour tous les âges, et fini par un temps d’histoire. Maintenant les plus grands réclament de lire des livres aux plus petits.
Vendredi
Atelier de la rocade
Aujourd’hui, nous sommes allés sur le quartier de Longjumeau Sud à la Rocade.
Nous avons pu faire nos ateliers sous un magnifique soleil, il y avait énormément d’enfants.
Il y avait un grand tapis de petite enfance où es enfants avaient la possibilité de jouer avec des jeux magnétiques, des kaplas, des petites voitures, de la dinette…
Nous avons aussi proposé un atelier dessin dans lequel à l’aide de model les enfants ont pu dessiner des personnages de mangas, cette activité à beaucoup plus aux enfants qui dessinaient avec beaucoup de détermination !
Un atelier peinture était aussi à disposition des plus petits et des grands.
Nous avons également fait de la pétanque.
Tous nos ateliers ont été accompagné par de la musique et nous en avons profité pour faire des jeux musicaux avec ceux qui le voulaient, chaises musicales, statut musicale …
Pour clôturer, notre journée nous nous sommes tous rassemblé pour prendre le goûter.
Bel-Air
Aujourd’hui, nous étions au jardin de Bel-Air. Nous avons accroché des photos dans le jardin et installé la mosaïque. Les barreaux en bois de la clôture ont été peint par les enfants qui y ont pris beaucoup de plaisir à le faire.
Ils ont aussi paillé autour des légumes et des plantes de pomme de terre. Avec les fruits récoltés dans le jardin nous avons concoctés un smoothie que les enfants ont préparé.
C’était vraiment délicieux ! Le goûter c’est également très bien déroulé. C’était une agréable journée.
Champlan
Aujourd’hui, à Champlan nous avons proposé de la peinture aux enfants et un atelier petit enfance, cela a eu un grand succès.
Un atelier autour des jours de la semaine en français s’est tenu. C’est une activité que beaucoup apprécie. Nous avons aussi fait des jeux de sociétés (comme le uno, le doble) avec des adultes. Un enfant du camp nous a ensuite fait des tours de magie avec les cartes.
Pour finir nous avons tous pris un bon goûter convivial tous réuni sous le soleil.
Jeudi
Massy
Les ateliers ce jour ont été investi pour la préparation de la soirée conviviale. Les enfants ont pu faire des beignets, préparer la pâte ainsi que les faires cuire à l’aide des adultes. Nous avons préparé une chorégraphie afin de l’apprendre aux autres par la suite, c’était super, les enfants étaient motivés et ont même réussi à apprendre à ceux qui avaient plus de mal. Il y avait une très bonne ambiance.
Pendant ce temps, une longue file s’est installé avec l’atelier maquillage, les enfants ont été transformé en princesses, arc en ciel, tigre, serpents et biens d’autres.
Certains ont commencé un match de foot, ils étaient nombreux et s’organisaient très bien.
Les familles ont commencé à arriver en fin d’après-midi pour poursuivre sur la soirée conviviale. Nous avons fait connaissance avec des familles que nous ne voyons pas habituellement, un chouette moment passé tous ensemble !
Soirée conviviale à Massy
Première soirée conviviale au quartier de Massy ! Une réussite !
La soirée s’est faite dans la continuité des ateliers de la journée, au programme des jeux de société, un match de foot avec les enfants et les adultes et de la musique pour ambiancer tout le monde. Au début de la soirée quelques enfants ont appris une chorégraphie, les grands ont aidé les plus petits qui étaient finalement très à l’aise ! Au milieu de la soirée les danseurs ont fait une représentation qui a lancé la soirée dansante, un grand cercle avec les enfants qui chacun leur tour se sont élancés dans le cercle, beaucoup de joies et de rires !
Le buffet a fait des heureux, des salades de pomme de terre, salade de pâte, des quiches au poulet moutarde, de quoi régaler tous les participants. Comme nos estomacs en demandaient encore nous avons terminé ce bon repas par des beignets et des lapins en chocolat. Certaines familles qui faisaient le ramadan ont pu emporter des ravitaillements pour le soir.
La soirée conviviale a pris fin sur un jeux de chaise musicale au milieu du parc, au moins 30 enfants ont participé ainsi que les adultes. Un moment vif et joyeux !
Skate-Park
Aujourd’hui, sous un ciel orageux, les couleurs de la pâte à sel scintillent, les rires des enfants se font entendre à l’atelier petite enfance, la musique raisonne dans le quartier, les enfants s’agitent aux jeux collectifs et d’autres découvrent les craies.
Durant ce temps, les parents discutent entre eux, se reposent.
Ce temps était riche : cohésion, convivialité, entraide et bonne humeur sont au rendez-vous.
CLAS
Aujourd’hui, au CLAS, nous avons commencé par prendre un goûter tous ensemble dans une ambiance conviviale où nous avons pu échanger ensemble.
Ensuite, nous nous sommes divisés en plusieurs groupes pour l’accompagnement scolaire.
Certains étaient en individuel, d’autre étaient en binômes ce qui a permis de favoriser l’entraide et la communication entre eux.
Nous avons fini par faire des révisions de toutes sortes selon le niveau de difficulté des enfants.
Mercredi
Saint-Eloi
Aujourd’hui, nous nous sommes rendus dans le quartier de Saint-Eloi pour proposer différents ateliers aux enfants.
Au rendez-vous un atelier petite enfance, un atelier de fabrication d’instruments de musique qui a très bien marché.
Durant le jeu collectif, le béret nous avons revisité les règles, nous avons ajouté un parcours d’obstacle.
Une chorégraphie à été proposé par les enfants durant l’atelier danse. Marion est parti de leurs idées de bases pour coordonner l’ensemble.
Nous nous sommes réunis pour lire une histoire avec le Kamishibaï.
Pour clôturer, cette belle journée nous avons tous dégusté un délicieux goûter.
Bondoufle
Aujourd’hui, à Bondoufle nous avons mis en place un atelier pâte à sel qui a énormément intéressé les enfants.
Un atelier dessin par étapes qui était un peu compliqué pour les petits mais génial pour les pré-ados.
Un atelier beauté qui a fait du bien aux mamans et qui a permis d’échanger avec elles.
Un espace petit enfance avec les grands jeux pour les plus grand.
Nous avons ensuite fait des jeux collectifs tous ensemble.
Pour finir, nous avons pris le goûter tous ensemble dans une ambiance conviviale.
Jardin
Aujourd’hui, à l’atelier de Bel Air, nous allons vérifier l’état des plantations suite à l’orage de ces derniers jours.
Ensuite, le camion avec le paillage arrive et nous mettons tous la main à la pâte, enfants et adultes, pour aider au déchargement et ensuite au paillage des plants des tomates, courgettes et aubergines.
Nina avec quelques enfants propose un atelier perles et décoration du jardin tandis que Nicolae avec d’autres enfants pulvérisent du purin d’orties sur les plantations pour les protéger des éventuelles maladies.
A la fin, un bon goûter partagé avec tous les présents
Bibliothéque Baladins
Aujourd’hui, nous sommes allés au baladin pour faire l’atelier bibliothèque avec les enfants.
Nous avons été chercher les enfants dans leurs chambres d’hôtel, puis nous avons fait deux groupes ; il y avait ceux qui voulaient faire et regarder le spectacle de marionnettes et ceux qui désiraient lire des livres.
Le groupe de marionnettes, ont jouer des pièces imaginées par les enfants. Les grands comme les petits ont participé !
Le deuxième groupe c’est séparé de façons à pouvoir lire les histoires choisies par les enfants. Chaque enfant choisissait un livre qui était lu par la suite.
Tous les enfants se sont bien amusés, ils ont adoré le théâtre et les histoires racontées.
Nous nous sommes tous regroupé pour prendre ensemble un bon goûter !
CLAS
Aujourd’hui, au Clas nous avons commencé par prendre une collation tous ensemble et en parallèle un atelier jeux de société a été mis en place pour ceux qui font le ramadan.
Ensuite, nous avons fait le jeu « je pars à la chasse et je prends… » ; ce jeu consiste à dire « je pars à la chasse et je prends une louche » le prochain reprends la phrase et rajoute un élément ainsi de suite celui qui perd est éliminer. Ce jeu a beaucoup plu aux enfants, il a permis de travailler la mémoire tout en jouant.
Nous avons ensuite enchaîné par des pas chassés et finit par l’aide scolaire, les révisions les entraînements pour les évaluations etc…
Cours sociolinguistique
On était vingt, l’atelier s’est bien passé. Les questions posées été sur l’alimentation et les goûts comme par exemple « qu’est-ce que vous mangez et pas vos enfants ? » et « qu’est-ce que vous n’aimez pas à cause du goûts? ». Les réponses étaient plutôt variées tel que le fait que quelqu’un ne mange pas de chocolat mais ses enfants si ou l’inverse.