Travail social , nouvelles manières de (décom)penser (I)
Indistinctement, les mentalités, les supports, les idéaux et les croyances qui caractérisent l’action éducative et sociale , changent. De nouvelles manières de penser son travail, ses responsabilités, ses propres interventions, font progressivement leur apparition.
Dans un silence étrange et dans une indifférence quasi générale, de nombreux acteurs sociaux, travailleurs sociaux, enseignants, animateurs, repensent aujourd’hui ce qu’ils estiment être leur métier ou leur travail, avec leurs mots, pour tenter de trouver quand même du sens , face à des situations, des évolutions des politiques éducatives et sociales et des mutations des pratiques institutionnelles, qui leur échappent.
Ainsi, en travaillant directement au contact des publics les plus précarisés, nous assistons à toutes ces rencontres qui ne se font pas entre eux et des travailleurs sociaux, les agents administratifs ou institutionnels, qui se croient en première ligne, mais qui dans la réalité, déploient toute leur énergie pour mettre ces publics à distance. Nous sommes alors témoins de situations qui oscillent souvent entre l’absurde , l’insupportable ou l’ubuesque.
Des assistantes sociales sont ainsi, petit à petit, amenées à démolir leur propre métier et à tenter de rationaliser , comme elles le peuvent, le nombre incalculable de fois où elles sont amenées à se déclarer incompétentes, où elles affirment ne rien pouvoir faire, ne pas être la bonne personne, ou le bon service.
Petit à petit, elles en sont amenées à affirmer des choses incroyables, et nous avons quelques fois entendu devant les guichets ou dans les couloirs des sujets d’étonnement du genre: « Au fond, le travail de l’assistante sociale ce n’est pas d’aider les gens à obtenir leurs droits » , ou « Aucune de nos missions ne nous permet de travailler avec des familles en difficulté », ou encore « Ce sont les associations de type Croix Rouge,ou Secours Catholique des familles comme vous, qui viennent en aide aux familles; nous ne sommes pas là pour cela ».
A force de déconstruire, on est en danger de se retrouver un beau jour face à un vide absolu. Comment dès lors savoir à quoi on sert, si tout au long de la journée on explique qu’on n’est pas là pour « servir »?
C’est là que fleurissent les créations les plus originales pour expliquer en quoi peut encore consister le sens de sa mission quand justement, au quotidien on ne peut plus faire grand chose.
Souvent nous entendons: « Vous savez, Madame, nous nous ne sommes pas là pour que vous accédiez à vos droits, mais pour évaluer votre projet »; ou encore « Nous ne pouvons rien faire pour vous car vous n’avez pas de projet ».
Plus récemment, telle cadre de service de polyvalence nous affirmait « Vous savez , en actions sociales, on ne peut rien faire avec des gens qui n’ont aucune amélioration à attendre de l’avenir ».
Ainsi , on voit se dessiner , touche par touche, une véritable nouvelle théorie du travail social. Dans cette théorie, l’intervention éducative et sociale des professionnels serait exclusivement réservée à des personnes, pour qui un parcours de promotion serait, non seulement possible, mais programmé.
Ce nouveau travail social n’imagine même plus venir en aide aux gens justement parce qu’ils sont dans la plus grande difficulté. Au contraire , une recherche permanente d’efficacité , de lisibilité vis à vis des priorités de leur propre hiérarchie pousse les agents de ces services à privilégier au départ tous ceux qui se sont presque déjà sortis par eux mêmes des difficultés qu’ils connaissent.
Cela pourrait paraître bien banal, mais c’est pour autant un renversement idéologique de grande ampleur: c’est comme si l’hôpital mettait à la rue les blessés graves, pour soigner en priorité les bosses et petites coupures; comme si les pompiers refusaient de se rendre sur les lieux d’un incendie en assurant que la grande échelle serait réservée aux chats coincés dans les arbres.
C’est dans ce contexte , qu’il nous a été donné d’entendre et de méditer la sentence qui sert de titre à cette chronique. Pour son auteur, cette formule, c’était comme une véritable trouvaille, un nouveau dogme. Enfin on trouvait un sens à renvoyer chez elles des femmes isolées avec leur enfants , sans ressources, qui ne parvenaient pas à établir le moindre droit à des allocations ou à la sécurité sociale.
Il fallait expliquer pourquoi on n’allait pas aider cette personne; l’explication est détonnante: « C’est parce que ce ne serait pas juste ».
Il ne serait pas juste, dans l’esprit de notre interlocutrice, d’aider telle personne qui en aurait le plus besoin, plutôt que telle autre qui n’aurait peut être même pas idée de demander de l’aide.
L’égalité républicaine s’impose ici en dehors de tout contexte comme une valeur absolue: ou on aide tout le monde, ou on n’aide personne. Tout le monde pareil.
On a l’impression d’une morale issue du sport, du stade qui envahirait tout d’un coup la pensée du secteur social. La vie moderne serait une course, l’accès aux droits, un challenge et les travailleurs sociaux, au fond, ne seraient plus là que pour compter les tours et les temps. En faire plus, ce serait du dopage.
Il faut comprendre ce raisonnement et le pousser jusqu’au bout . Si les travailleurs sociaux se mettent à aider , soutenir et accompagner tels et tels individus en situation d’exclusion, de handicap ou d’abandon, cela risquerait de constituer un manquement à une sorte de pacte citoyen ou sociétal implicite.
Invoquer l’équité pour justifier l’inaction; c’est une trouvaille fabuleuse qui permet de se placer au dessus de ceux qu’on n’aide pas, tout en renvoyant les publics en demande à l’illégitimité et à des attentes condamnables.
En réalité, en agissant et en pensant ainsi, les travailleurs sociaux ont le fol espoir de se mettre à l’abri de situations très préoccupantes et inconfortables, au cours desquelles ils auraient à découvrir que les institutions ne fonctionnent pas comme elles le devraient; que malgré le droit et la justice, on est de plus en plus couramment refoulé des droits sociaux les plus élémentaires en matière de santé, de logement, de banque, d’énergie, de chômage, d’allocations familiales.
Par leur refus d’intervenir pour obtenir au bénéfice de leurs publics les droits ordinaires , les travailleurs sociaux se dispensent d’une telle prise de conscience; ils se dispensent de prendre position et s’économisent des risques de conflits inter ou intra-institutionnels , qui les dépassent.
Certes ils se préservent mais le prix à payer est fort: c’est la perte des réalités sociales et de la clef de compréhension des publics.
Il n’en demeure pas moins que se banalise ainsi un bien curieux usage du recours à l’éthique. Alors que nous constatons une inflation de l’usage de ce terme, qui s’impose dans toutes les formations, les guides de bonnes pratiques et institutions du social, on découvre l’effroyable ambivalence de son contenu.
Que vaut l’éthique au fond, quand elle peut servir à justifier tout et son contraire?
A quoi sert-elle quand on l’utilise pour inventer des fables pour faire oublier le détricotage des sécurités sociales?
Et surtout, qui sert elle, quand elle devient le bouclier des professionnels qui renoncent et des institutions qui abandonnent?
SAMEDI
Atelier des Hotels
Nous avons proposé un atelier petite enfance à l’hôtel Parthénon avec l’aide des bénévoles.
A l’hôtel F1 nous avons proposé un atelier de petite enfance, anti coloriage, perle et jeux collectifs
Nous avons proposé un taureau, puis une qualification.
Une fois tous les enfants réunis nous avons pris un goûter tous ensemble dans la bonne humeur.
Bon weekend à tous.
Atelier de la Villa Saint Martin
Aujourd’hui nous sommes allés dans le quartier de la Villa Saint Martin à Longjumeau.
Nous avons mis plusieurs ateliers en place dont la petite enfance et kamishibai où les enfants étaient très attentifs sur les histoires lues.
Un atelier jeux collectifs avec un taureau et un jeu de balle.
Et pour finir une chaise musicale où les adultes et les enfants se sont bien amusés.
Pour conclure cette journée nous avons pris un gouter tous ensemble.
Atelier CLAS de Longjumeau
Aujourd’hui, nous avons fait le CLAS à la salle Colucci et nous avons fait une fresque avec les enfants.
La peinture a été faite avec des éponges et elle sera affichée sur un mur de la salle de dance.
Quand l’atelier a été fait nous sommes allés rejoindre le groupe de la VSM pour prendre le gouter.
VENDREDI
Soirée Conviviale
Aujourd’hui, nous avons animé la soirée conviviale avec différents ateliers.
Parmi ces ateliers il y avait un atelier photo avec des déguisements et atelier maquillage pour les enfants.
Tout au long de la soirée dusko a animé la soirée en mettant de la musique et en organisant des battles de danses
Des gâteaux avaient été réalisé durant l’après midi et ils ont été distribués avec des boissons et des biscuits salés.
Atelier de la Rocade
Aujourd’hui nous avons fait un grand tournoi de foot, une petite enfance, et jeux de société.
Le tournoi de foot était accompagné de commentateurs experts nommés Thomas et Dusko. Un match PSG-REAL junior, avant le choc du 14 Février.
Des jeux de société avec un UNO, Jungle Speed, et Genga.
Nous avons ensuite pris un goûter tous ensemble, dans le calme et la bonne ambiance.
Atelier de Champlan
Aujourd’hui nous sommes allés sur le bidonville de Champlan.
Nous avons installé nos diverses activités et les enfants on commencer à venir petit à petit.
Un atelier peinture avec des éponges était au rendez-vous, les enfants se sont super bien amusés ils ont même fini par crée une petite concurrence du plus beau dessin.
Nous avons également fait un tapis petite enfance avec des jeux magnétiques, de la dinette, des petites voitures et des livres à dispositions pour les plus petits !
Nous avons également fait quelque partie de Dooble, nous avons bien rigoler.
Pour finir nous avons fait des jeux collectifs avec quelque adultes qui se sont joints à nous pour jouer. Nous avons fait un « jaque a dit » , de la corde à sauter, 1 2 3 soleil et nous avons fini par le jeu de la corde où s’affrontais l’équipe des filles contre celle des garçons le but étant de pousser son adversaire hors de son camp.
Pour finir cette belle journée, nous nous sommes tous rassemblés sur un tapis et nous avons partagé un goûter tous ensemble,; un bon verre de chocolat chaud avec des madeleines.
JEUDI
Atelier du Skate Park
Aujourd’hui nous avons proposés diverses activités aux enfants aux sorties d’écoles.
Comme ateliers il y avait :
Les jeux de sociétés tel que le Dobbel, Uno et le jungle speed où les enfants étaient très compétiteurs entre eux.
Nous avons également créé un Dazibao ou les enfants ont pu être créatif et dessiner ce qu’ils voulaient et mettre leurs touches personnelles.
Le puissance 4 était de sorti également il à fait fureur chez les enfants.
Un tapi de petite enfance avec de la dinette et des petites voitures pour les plus petits.
Un petit groupe de musique ou les enfants on pu crier chanter … A été très apprécier par les enfants ils ont par-dessus tous adorés cette activité.
Pour finir, nous avons tous partager un gouter autour d’un chocolat chaud et de bonnes madeleines.
Atelier de Massy
Aujourd’hui, nous avons fait différents ateliers à Massy. Parmi ces ateliers il y avait un tapis petite enfance où les enfants pouvaient faire de la dinette, jouer aux voitures et faire des tours avec des Kapla.
Sur un autre tapis, nous avons installer des jeux de société. Et nous avons terminé par un foot.
Atelier du CLAS de Chilly Mazarin
Aujourd’hui nous avons animé un atelier cuisine dans le cadre du CLAS; nous avons donc préparer un Tiramisu pour la soirée conviviale du Vendredi 26 Janvier.
De ce fait les enfants ont participé à la préparation du dessert du commencement , jusqu’à la fin et la vaisselle.
Ensuite nous avons fait une aide au devoirs pour les enfants qui en avaient, et nous avons pris un goûter tous ensemble.
MERCREDI
Atelier de Saint Eloi
Aujourd’hui, nous nous sommes rendu à saint-Elois , en proposant des activités aux enfants qui ont étaient très nombreux.
Les activités proposées ont été : Dazibao (thèmes rap) , ainsi que des Grand-Jeux , une session petite-enfance ect.
Un goûter convivial a été proposé aux enfants.
Atelier de Bondoufle
Aujourd’hui nous sommes allés au bidonville de Bondoufle,
Nous avons proposés diverses activités aux enfants qui étaient très nombreux !
Nous avons fait un coin petite enfance avec des petites voitures, de la dinette, des livres et jeux symboliques.
Il y avait également un atelier ou l’on faisaient des dessins à l’aide de mousse à raser et colorant alimentaire, c’était une nouveauté pour les enfants qui ont pu faire de merveilleux dessins.
Nous avons également proposés un atelier perles où les enfants on pu confectionner de beaux bracelets de perles.
Nous avons également préparés des crêpes pour le goûter, des filles nous ont aider à préparé les crêpes elles ont adorées faire la cuisine !
Pour finir notre après-midi, nous avons fait des jeux collectifs, comme le poisson pécheur, 1 2 3 soleil… Puis, nous avons pris le gouter ensemble, un bon chocolat chaud ave de bonnes crêpes au nutella !